• Un visiteur à Keres (partie 2)

    Suite des impressions hivernales d'un visiteur lointain venu passer une semaine de "vacances" à la ferme. Où on découvre les différents animaux de la ferme de Keres.

    (Cliquer sur les photos pour les agrandir)

     

    Un visiteur à Keres (partie 2)

    Un visiteur à Keres (partie 2)

    coureurs indiens

    Des passériformes profitent aussi de la manne promise par les fumiers et les nombreux arbres, dont certains fruitiers, qui parsèment la propriété...

     

    bergeronnette

    moineaux domestiques

    Les mammifères ne sont pas oubliés ! Cette silhouette qui se détache sur l’azur n’est autre que la ponette...

     

    la ponette

    gros plan ponette

    ... bientôt flanquée de deux biquettes et d’un troupeau de moutons Ouessants.

     

    les quatre pattes

    Le bélier, (Niko), est un fonceur, qui attaque tout ce qui s’approche de ses brebis.

    bélier ouessant

    N’oublions pas les chats, qui, outre leur rôle de chasseurs assermentés de rongeurs commensaux, tiennent compagnie ronronnante autour de la maison.

     

    Natacha

    chaton

    Il faut du grain...

    seau de grain

    du foin et de la paille,

    foin

    ... des moyens de transport, pour entretenir cette maisonnée,

    kubota

    ...mais le spectacle est grandiose, un véritable feu d’artifice de couleurs.

     

    coco braeckel

    orpington fauve

    sussex tricolore

    petit combattant anglais noderner

    brahma perdrix-argentée

    rhode island

    Le tout dans un écrin de verdure arrosé par le Jaudy, qui, grossi par les tempêtes de l’hiver, gronde dans la vallée adjacente.

     

    le jaudy en crue

    L’humidité et la pénombre de la ripisylve est propice au développement de fougères de différentes espèces, parmi lesquelles viennent s’ébattre des hardes de sangliers attirés par les richesses de la contrée. L’écho des meutes lancées à leur poursuite résonne longtemps dans les bois alentours, ponctué du son du cor et de quelques coups de fusils.

     

    fougère aigle

    Mais il est temps de raccrocher les sabots pour se retrouver au coin du feu à écouter les histoires innombrables que ce bout du monde véhicule, attablés à la grande table de la cuisine devant un repas toujours renouvelé et savoureux.

     

    sabot jaune

    Saint-Symphorien, le 04 janvier 2013,

    Thierry Argant

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  • Commentaires

    1
    Pascal
    Lundi 8 Août 2016 à 01:29

    Joli reportage. On reconnait là un technicien de l'environnement, mais surtout et c'est le plus important, une âme de poète

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